logo6b.png djib_2009_014s.jpg djibouti_2009_004s.jpg djibouti_2009_015s.jpg Image004s.jpg Image014s.jpg Image016s.jpg Image021s.jpg Le charter qui nous emmène est chargé de Somaliens qui retournent au pays. Ambiance de grand marché à bord de l’avion et cela pendant toute la nuit !!! Voyage dur, pas de place, équipage aux abonnés absents, mais bon, ce n’est que 7 heures de patience pour retrouver la Mecque de la Carangue. Après l’atterrissage à Djibouti petit détour au petit supermarché pour quelques achats du style boissons, friandises, etc… avec Valérie (De l’agence du Goubet) qui nous guide vers le port ou nous attendent les deux bateaux. Coques open de 10m très bien adapté pour la pêche et bien motorisé. Sacs de voyages, tubes de cannes chargés, mais celui de Michel à subit un impact lors du transport. Résultat deux anneaux de cannes détruit et vite réparé au camp grâce à Julien qui a toujours des anneaux de rechange. Tout est prêt, nous pouvons mettre le cap sur les 7 Frères, les deux coques se suivent et 4 heures de mer après nous voilà sur cette île mythique avec mer agitée pour le transfert à tel point que debout dans le bateau une vague me soulève et me voilà sur le dos en une seconde !!Installation au camp et prise de possession de nos quartiers pour une semaine sous des tentes qui penchent du côté ou elles vont tombées.Montage des cannes, Popper flambant neuf, et déjà le déjeuner est prêt. En soirée premier contact avec le site et ses occupants, mais sur notre bateau, Régis, Lionel, Michel et Moi ne prendrons qu’une petite carangue pour Régis et une belle carpe rouge pour Lionel.
Le lendemain matin après une nuit de repos bien mérité, je pars à la pêche avec Julien pour un premier contact avec les Ignobilis. Et quel contact !!!!!Des attaques en veux tu en voilà et ma première Igno de 1m36 ! Quel poisson avec un frein à 10 kilos debout c’est vraiment de la pêche sportive ! Et cela c’est répété tous le long de la semaine. Des attaques dans tous les sens, les 8 pêcheurs que nous étions tous attelés en même temps de la pure folie, surtout sur les dérives. Des poissons de plus en plus gros, des attaques de carangues par dizaine et cela tous les jours. Sans compter les Barras, Thazards, Carpes Rouges, Mérous et autres. L’après-midi à la coupure, sieste et plongée des fonds marins à couper le souffle des poissons énormes me frôlent je vois un mérou que j’estime à plus de 100 kilos, gros barracudas une multitude de poissons de toutes les couleurs c’est vraiment un spectacle aussi bien sous la mer que sur la mer avec des dauphins par dizaine et une raie manta qui nous a gratifiée de son passage près de notre bateau. Une image inoubliable à mes yeux. Le 10 juin dans l’après-midi un bruit sourd comme un coup de canon casse le silence de l’endroit, nous croyons à un exercice de l’armée mais le lendemain nous recevons l’ordre de Paris de plier bagages car un conflit frontalier a éclaté entre l’Erytree et Djibouti, comme nous nous trouvons pas loin nous plions bagages après le déjeuner. Nous prenons la mer vers Obock. 1h30 après nous voilà réinstallés dans le camp de pêche de Obock.Le temps de déposer nos affaires et nous repartons pêcher de nouvelles zones et de nouveaux poissons plus divers et en douceur.droppedImage.jpg Car ce séjour est inoubliable, 350 carangues dont la plus grosse de 1m53 et un énorme barra plus une cinquantaine de divers autres poissons ont rejoins le bateau entre cannes pliées et chants des moulinets. C’était vraiment extraordinaire et unique et je pense qu’il y a que Jean Miche Sy pour trouver des sites aussi extraordinaire pour des gosses comme nous. Je veux remercier mes compères Régis, Michel, Julien et les Kapoutous et surtout Gilbert Tarpon, et Lionel pour leur gentillesse c’est vraiment agréable de passer un séjour avec eux au milieu de nulle part et surtout merci aux marins et à toute l’équipe sur ce camp, sans oublier le très grand cuisinier Jilani pour sa grande valeur et sa gentillesse, la bonne humeur de ce peuple quo nous a reçu les bras ouvert. La cuisine de Jilani fut une des meilleurs rencontrée sur un camp de pêche. Il faut vivre cette aventure pour comprendre ce qu’est l’Archipel des 7 Frères si dure mais si magique avec la météo parfois difficile, du vent fort et des conditions de bivouac très dur mais c’est el prix à payer pour combattre ces poissons extraordinaires. Maintenant, je te dis encore merci à toi Jean Michel et trouve nous encore des sites comme celui-ci pour nous faire rêvés encore et encore c’est tellement bon….. !!
Voilà mission accomplie et prêt pour d’autres missions !
ET N OUBLIER PAS LE MATERIEL DOIT ETRE A LA HAUTEUR AINSI QUE VOTRE CONDITION PHYSIQUE. INDISPENSABLE POUR PECHER LA-BAS.